Petit coup de rétroviseur dans l’histoire de la cité dont nos démocraties se réclame, Athènes, et en particulier sur deux personnages politiques qui ont marqués le destin de la ville grecque :
Périclès et son turbulent neveu Alcibiade
Le premier est l’homme qui a approfondit la démocratie athénienne en prenant une mesure dont nous devrions nous inspirer.
Il réduit l’indemnité des élus (le Misthos) à deux oboles par jour. Cette mesure renforce la représentativité et la participation du plus grand nombre, le misthos devenant intéressent pour les classes populaires de l’époque et peu intéressent pour les plus nantis qui délaissent les postes d’élus de la cité.
Pour le même raison et en espérant les même effets il serait salutaire de s’inspirer de Périclès. Notamment en mars 2020 pour les prochaines municipales pour réduire l’indemnité des élus. Périclès à régénéré la démocratie athénienne qui s’était sclérosée de la mème manière que la notre, par la main mise des notables sur la vie de la cité au dépend des autres habitants.
Mais la démocrate est un effort constant sur la durée, qui réclame une grande vigilance tant le vice du pouvoir est inhérent chez les notables qui nous dirigent.
Une génération plus tard, le propre neveu de Périclès deviendra le parangon de contre tout ce quoi il c’est battu. Le jeune homme pourtant reçu la meilleur instruction possible son précepteur ne fut autre que Socrate. On dit de Alcibiade qu’il avait tout pour lui, la beauté, l’intelligence, grand guerrier et excellent stratège il était un formidable rhéteur formé par les plus grand.
Il devait être le plus grand dirigeant de la cité athénienne de tout les temps.
Mais plus grande que ses qualités c’est sa soif de pouvoir qui causa sa chute.
Il trahit sa patrie pour rejoindre Sparte alors en pleine guerre avec sa rivale Athènes et allant jusqu’à se mettre au service de l’ennemi juré de la Grèce toute entière qu’était la Perse.
La vie de Alcibiade est le reflet de nos politiciens d’aujourd’hui comment ne pas pensé à votre maire, au président, à un ancien premier ministre… Il est temps d’en finir avec ce paradigme et à la place réhabilité a vertu en politique.
D’en finir avec Alcibiade et réhabiliter Périclès…